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L’entrisme, par ici la sortie

  • Photo du rédacteur: André Touboul
    André Touboul
  • 1 juin
  • 1 min de lecture

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Après le séparatisme, l’entrisme, qui n’en est pas l’opposé, mais une version plus habile mais à même finalité.

Le séparatisme s’exprime par le voile et les signes extérieurs de singularité pa rapport à la société française. L’entrisme prétend se fondre dans la société, en usant de ses lois tolérantes pour les détourner. Il ne s’agit plus de se singulariser, mais de prendre possession du terrain.

On pourrait définir l’entrisme comme le ver dans le fruit, dans la mesure où il a pour objet et pour effet de détruire la société dans laquelle il s’introduit. Plier la République Française aux règles de la Charia, n’a rien d’un vivre ensemble, ni  côte-à-côte, ni face-à- face, pour reprendre les termes utilisés par Gérard Collomb en quittant la place Beauvau. C’est un changement de régime.

La réaction quasi unanime de la classe politique et de l’opinion, montre que nul n’en doute. Qui peut préférer l’Afghanistan à la douce France ? Mélanchon, peut-être, qui oublie qu’il n’est qu’un kouffar (un infidèle) que les Frères Musulmans utilisent comme un idiot utile.

Il est temps de réagir, de faire respecter la loi républicaine et de fixer les limites à ne pas franchir. Si l’on ne le fait pas, l’Islam fanatique des Frères Musulmans, interdit comme terroriste dans plusieurs pays du Moyen Orient, s’emparera des esprits de tous les Français originaires d’Afrique en conduisant inexorablement la France vers une confrontation violente.

On n’interdît pas une idéologie, dit-on. Certes, mais on peut en combattre les manifestations.


 
 
 

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